positionLES BRAS :

Les mains positionnées à neuf heures et quart sur le volant, vous devez être suffisamment prêt de celui-ci pour que vos coudes forment un angle de 90°. Cela permet d’avoir plus de force, de précision et d’être plus rapide au niveau de la direction.

Autre mesure : les épaules qui touchent le siège, bras et mains allongés droit devant vous, reposant sur le haut du volant, le point de contact entre le bras et le volant doit se situer au niveau du poignet.

LES JAMBES :

Le pied gauche appuyé à fond sur la pédale d’embrayage, le genou doit être légèrement fléchi. Dès que l’on ne se sert plus de l’embrayage, il faut profiter de la jambe gauche pour se caler dans le siège. Mettez votre pied sur le passage de roue où sur le repose-pied si l’auto en possède un pour avoir cet appui musculaire.
Le bon compromis : Privilégiez la position des bras, à condition que les jambes ne soient ni trop loin ni gênées.


LA MANIPULATION DU VOLANT :position9-15

Neuf heures et quart, c’est la meilleure position des mains sur le volant car elles sont diamétralement opposées.

Lors de grandes courbes, il n’est pas tout le temps nécessaire de déplacer les mains. Il faut cependant faire attention à ce qu’elles ne dépassent pas l’axe vertical du volant lors du braquage car vous auriez alors les bras croisés.

Pour un virage plus serré, il faut donc les déplacer. C’est la main intérieure au virage qui vient chercher le haut du volant et le tire vers le point de corde pendant que l’autre main le laisse glisser. Lorsqu’elles sont diamétralement opposées, les deux mains reprennent manip_volantle volant pour corriger la trajectoire et soutenir l’effort durant le virage. Pour le débraquage, la main opposée au virage vient rechercher le volant et le tire vers le point de sortie, l’autre main laisse glisser le volant pour le reprendre à neuf heures et quart à la fin du virage.